Par : jeandler
> Patriarch, et ce n’est que le début de la journée ! L’heure de se déssiller les yeux, en écartant les brumes de la nuit.
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> Dominique Hasselmann, Rimbaud n’embrassait-il pas l’aube d’été ? L’heure de tous les projets, de tous les espoirs, de toutes les promesses aussi.
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> Ulysse, une aubaine certes par un matin de mai, où l’aubépine fleurit. Églantine, aubépine, Rouge, rouge, rouge et blanc. Glycine, L’oiseau vole en chantant. Églantine, aubépine, Bouge, bouge,...
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> Maria-D, « un voile de crêpe » comme si par ce matin de brouillard la nature se mettait en deuil. Et je pense bien sûr à Victor Hugo prenant son bâton de pèlerin en route pour Villequier: Demain,...
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> Midolu, des peupliers, le lit de la Loire en est envahi. Quelques aulnes aussi. Une histoire , le Roi des Aulnes, mise en musique par Schubert, un lied magnifique Dem Vater grauset’s, er reitet...
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> Thierry, le reprends le texte de Quignard n’y pouvant ajouter : « C’est le jour lui-même qui apporte la couleur mais l’aube apporte avec elle la pâleur. » » Pour repeindre du jour la fresque « ,...
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> Araaga, c’est la brume qui estompe et dissimule les défauts de l’image.
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> Mimik, l’aube » fait la brume ou le nuage qui entoure les arbres et que le jour arrache. » Une émergence. Un surgissement.
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> Sido, les ombres rêveuses… » Les fleuves s’enfoncent perpétuellement dans la mer. Ma vie dans le silence. Tout âge est aspiré dans son passé comme la fumée dans le ciel. » P. Quignard, Vie secrète.
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> Naline, tu l’auras compris je lis à peu près tout ce qu’a écrit Quignard et ce livre en particulier. » Fermer les yeux, rêver, c’est voir encore, c’est voir des images coûte que coûte, c’est ne...
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